A vos claviers #5

 

Clavier Pixabay

Source : Pixabay

 

Et voici le nouveau défi pour le mois de mars !
Je me suis creusé les méninges pour vous trouver un défi inédit…
Dans le texte Le dernier mot écrit dans le cadre du défi A vos claviers #4, j’ai mentionné les verbes « survivre », « sourire », « rire », « vivre », l’idée est venue de là.
Je vous mets au défi de produire un texte contenant au moins dix mots finissant par le son « ir », quelle que soit leur catégorie grammaticale.
Pour participer, il vous suffit d’indiquer le lien vers votre texte en commentaire et je ferai un récapitulatif à la fin du mois.

Pour voir les textes produits dans le cadre des précédents défis A vos claviers :
A vos claviers #4
A vos claviers #3
A vos claviers #2
A vos claviers #1

Je suis impatiente de vous lire !

Estelle

40 commentaires

  1. Soupir ! il y en aura pour dire que partir, c’est un peu fuir, presque trahir ! mais si j’ai le cuir épais, je rêve de Zéphir, d’écouter l’herbe bruire et la campagne luire, alors, sans m’évanouir, je fais une pause dans l’écrire.
    [15 jours sans internet ? rire !]

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  2. PARTIR

    C’est décidé je pars, direction ton sourire
    C’est décidé je m’enfui, pour mieux te retenir
    Prendre un avion dans un éclat de rire
    Vendre sa maison pour financer son délire.

    Direction ailleurs sans trop savoir où attérir
    Dépasser les nuages vers l’horizon à venir

    Mais partir, changer de direction.
    Et sourire, en accepter les conditions.
    Faire tourner le globe et le centre du monde
    Fixer son gps ailleurs, se rapprocher de l’équateur

    S’en aller vers de nouveaux souvenirs, pour le meilleur et pour le pire

    😉

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  3. Pris par le temps et l’urgence de répondre au défi, je n’ai pas encore publié ce texte sur mon blog. Le voici donc « en direct » 🙂

    Sous ton sourire, un torrent
    de larmes et de sang.
    Pourras-tu un jour
    dire
    la douleur de partir?
    Pourras-tu un jour
    écrire
    que pour ne pas mourir
    il t’a fallu fuir?
    Sauter dans l’inconnu,
    souffrir
    du froid, de la faim,
    et souvent pire.
    Nous t’avons vu venir
    harrassé, épuisé,
    condamné à dormir
    dans les gares
    dans les rues.Et toi
    tu refuses de nous hair,
    de nous maudire.
    Ta misère nous fait frémir
    de peur
    ton courage nous fait
    tressaillir
    de honte.
    Étranger, voyageur
    verras-tu enfin
    une porte, un coeur
    s’ouvrir ?

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