Agenda ironique d’avril 2018

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Le cirque bleu, Marc Chagall     Source

Bonjour à tous !

J’ai été désignée pour organiser l’Agenda ironique d’avril 2018 et c’est avec plaisir que j’ai accepté, même si trouver un thème m’a donné du fil à retordre…

Au mois de mars, nous avons fini dans des maisons de retraite complètement improbables grâce à Jobougon.
Je vous invite à aller lire les textes si ce n’est déjà fait, cela vaut le détour !

La première fois que Carnets paresseux m’a parlé de l’Agenda ironique, j’ai lu un peu trop vite « Agenda onirique », alors j’ai pensé à un thème qui relevait du rêve.
Ensuite, premier avril oblige, j’ai pensé au poisson.
Rêve et poisson, mon esprit m’a conduit à Chagall et à son tableau Le cirque bleu.

Je vous propose donc de vous mettre dans la peau d’un poisson et de vous appuyer sur l’univers si particulier de cet artiste (en utilisant tout ou une partie de du tableau Le cirque bleu ou bien son œuvre en général) et de le combiner au vôtre pour nous faire rêver !

Les textes doivent être rendus au plus tard le 22 avril (en commentaire de cet article). Nous procéderons ensuite aux votes, l’un pour désigner le texte que vous avez préféré, l’autre pour désigner l’organisateur de l’Agenda ironique du mois de mai.

Ne reste plus qu’à faire travailler votre imaginaire !

 

76 commentaires

  1. C’est un poisson aérien qui nage dans le sommeil et qui trouve que le ciel est bien plein de l’étrange apesanteur des êtres oniriques qui flottent avec le trapèze. Car dans l’instant fugace où plus rien ne se passe, c’est là que tout arrive.
    Quelle merveilleuse idée que cet agenda onirique dans la constellation de l’entre deux eaux Chagallien.

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  2. Au fil du bleu d’avril s’écoule un temps perdu, si bleu,
    emportant l’univers.
    Poisson vole et cheval nage au fil du bleu courant,
    du bleu soufflant.
    Soleil hautain, lune insensible,
    la vie rouge a plongé si profond sous le bleu,
    la vie rouge a plongé sans espoir de retour.
    Où vont-ils, où les mène le bleu trop profond de la nuit?
    Bercé par le chant aigre d’un violon lunaire
    l’univers tout entier s’est noyé.
    Plus un bruit.

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  3. Par manque cruel de temps, j’ai déserté l’angeda ces derniers mois, j’ai un peu perdu sa trace aussi. Et puis voilà que je le retrouve… sous tes feuilles, Estelle! Le sujet est superbe, Chagall est merveilleux, les poissons ou les têtes de poissons devront voler rond dans le monde bleu du tableau! Je vais essayer de plonger, ce mois-ci, avec vous!

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