Symbiose

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Source : Pixabay

Au petit matin sur le chemin
Une agnelle frêle bêle m’appelle
Une forte odeur musquée se dégage
De cette nature vierge et sauvage

La brume lascivement s’étend
Il n’y a plus qu’elle dans mon paysage
Les ipomées à la fleur de l’âge
De leurs vrilles m’enlacent tendrement

De mes doigts j’effleure l’herbe mouillée
A mes lèvres les perles de rosée
L’eau de la rivière coule sans tarir
Les feuilles sous le vent frémissent, soupirent

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